« On dirait que votre glouf a eu une sacrée frousse! » (dixit tante Adélaïde)
C’est connu, quand le glouf a peur, il lance un liquide visqueux et bleuté qu’on appelle le schpill.
Du schpill, hier, on en a vu. À la tonne! Ici même dans le Vieux-Rosemont.
Aujourd’hui, grâce à ces preuves irréfutables, même les plus sceptiques se rendent à l’évidence : le glouf est bel et bien parmi nous!
À retenir : la quantité de schpill qu’un glouf peut lancer est prodigieuse. Pour donner une petite idée : une seule déjection pourrait remplir deux fois le coffre à gants d’une voiture, voire un sac d’école ou le tiroir d’une commode.